Un tournoi difficile pour l’équipe de goalball du Québec.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Pour diffusion immédiate
Montréal le 28 février 2018 – L’équipe masculine québécoise de goalball a participé, la fin de semaine dernière, à la 34e édition du John Bakos Memorial Tournament qui a eu lieu à Detroit.
Les athlètes Bruno Haché de Dorval, Josué Coudé de Québec, Tristan Lépine-Lacroix de Bordeaux-Cartierville et Rakibul Karim de NDG, ont été accompagnés de l’entraîneure Nathalie Séguin, l’assistante-entraîneure Alexandra Piché St-Louis et la physiothérapeute Janie Barette.
Ce tournoi s’est avéré difficile pour l’équipe du Québec qui a subi 4 défaites tout au long de la fin de semaine. Selon Nathalie Séguin, entraîneure en chef, tous les membres de l’équipe ont eu un temps de jeu qui leur a permis de travailler sur certains aspects, mais ils n’ont pas su s’adapter aux différentes équipes. « C’est un apprentissage de plus vers le championnat canadien, et des fois, il faut avoir de tournois difficiles pour en sortir plus fort » a-elle-ajouté.
Le podium de la division Élite du tournoi a été composé des équipes Goon Squad (USA) en première position, New York Knights en deuxième et California Crown en troisième.
À propos du Goalball
Le goalball a été inventé après la seconde guerre mondiale comme moyen de réadaptation pour les personnes devenues aveugles pendant la guerre. Il a fait son entrée aux Jeux paralympiques en 1976 à Toronto au Canada.
Le goalball est un sport spécifiquement conçu pour les personnes ayant une déficience visuelle. Joué en gymnase, l’objectif du jeu consiste à faire rouler ou rebondir un ballon qui contient une clochette, de manière à le faire pénétrer dans le but de l’équipe adverse alors que les joueurs adverses essaient de bloquer le ballon avec leur corps. Tous doivent porter un bandeau, pour égaliser les chances entre les joueurs aveugles et malvoyants. Le terrain de goalball est délimité par une bande de ruban adhésif avec une ficelle au centre pour créer une ligne tactile; de cette manière, les joueurs peuvent s’orienter sur le terrain.
C’est un sport unique pour le spectateur étant donné l’atmosphère silencieuse requise pour faciliter la concentration des athlètes.
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Surainy Jiménez | Chargée des communications
Association sportive des aveugles du Québec
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― 28 février 2018 ―