Équipe masculine québécoise de goalball : Les athlètes Bruno Haché de Dorval, Rakibul Karim de NDG, Josué Coudé de Québec et Tristan Lépine-Lacroix de Bordeaux-Cartierville, accompagnés de l’entraîneure Nathalie Séguin et l’assistante-entraîneure Alexandra Piché St-Louis.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Pour diffusion immédiate

 

Montréal, le 21 février 2018.-L’équipe masculine de goalball du Québec partira au Michigan, du 23 au 25 février, pour participer à la 34e édition du John Bakos Memorial, organisé par The United States Association of Blind Athletes (USABA).

Lors de cette 34e édition, 20 équipes masculines s’affronteront dans 2 divisions, hommes et hommes élite, tandis que du côté des femmes 8 équipes prendront part à la compétition. Nos portes-couleurs québécois composent le groupe E de la division Élite du tournoi, avec les équipes Cyclones, Floride, Goon Squad et New York Knights.

Les athlètes Bruno Haché de Dorval, Rakibul Karim de NDG, Josué Coudé de Québec et Tristan Lépine-Lacroix de Bordeaux-Cartierville seront accompagnés de l’entraîneure Nathalie Séguin, l’assistante-entraîneure Alexandra Piché St-Louis et la physiothérapeute Janie Barette. Leur participation à cette compétition est possible grâce à l’appui financier du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur (MEES).

À propos du Goalball

Le goalball a été inventé après la seconde guerre mondiale comme moyen de réadaptation pour les personnes devenues aveugles pendant la guerre.

Joué en gymnase, l’objectif du jeu consiste à faire rouler ou rebondir un ballon qui contient une clochette, de manière à le faire pénétrer dans le but de l’équipe adverse alors que les joueurs adverses essaient de bloquer le ballon avec leur corps. Tous doivent porter un bandeau, pour égaliser les chances entre les joueurs aveugles et malvoyants. Le terrain de goalball est délimité par une bande de ruban adhésif avec une ficelle au centre pour créer une ligne tactile; de cette manière, les joueurs peuvent s’orienter sur le terrain.

C’est un sport unique pour le spectateur étant donné l’atmosphère silencieuse requise pour faciliter la concentration des athlètes.

– 30 –

Source : Surainy Jiménez | Chargée des communications
Association sportive des aveugles du Québec
[email protected]

― 21 février 2018 ―